🔫 Cérémonie D Hommage Aux Victimes Du Terrorisme

Al'occasion de la troisième journée nationale d'hommage aux victimes du terrorisme, vendredi 11 mars 2022, Madame Sophie Thibault, Préfète du Val-de-Marne, a présidé la cérémonie départementale au Monument au morts, au cimetière de Créteil, accompagnée de Monsieur Laurent Cathala, Maire de Créteil, et Madame Kristell Niasme, Conseillère Jeudi11 mars, une cérémonie commémorative départementale, organisée à l’occasion de la Journée nationale d’hommage aux victimes du terrorisme, s’est tenue au « Cérémonied'hommage aux victimes du terrorisme : 11 mars 2022 Dans le cadre de la journée nationale aux victimes du terrorisme, une cérémonie se déroulera au monument aux Morts à 11h00. Rassemblement au monument aux Morts à 10h55. LouisLaugier, préfet du Haut-Rhin, a présidé le jeudi 11 mars 2021 la cérémonie en hommage aux victimes d'actes de terrorisme en présence des autorités civiles et militaires au monument aux morts du jardin du square du Souvenir français à Colmar. Le11 mars est désormais la Journée nationale d’hommage aux victimes du terrorisme. Pour cette première commémoration, la cérémonie nationale a eu lieu en présence du roi d’Espagne, Felipe VI, sur l’esplanade du Cérémonieen hommage au Préfet Claude ÉRIGNAC; Colloque "La revitalisation des centres-bourgs" Remise des prix du Concours National de la Résistance et de la Déportation; Présentation du bilan de la délinquance 2017 dans les Hautes UD33– Cérémonie d’hommage aux victimes de terrorisme. 11 mars 2022. Le 11 mars à 11 heures s’est tenue à Bordeaux, place du 11 novembre la cérémonie d’hommage aux victimes de terrorisme. Étaient présents à cette manifestation le sous-préfet de Bordeaux, le maire de Bordeaux, deux députés, le président du conseil général FrançoisHollande a choisi la date du 19 septembre pour rendre hommage aux victimes du terrorisme lors d'une cérémonie retransmise en direct sur France 2 et les chaînes d'information en continu. CÉRÉMONIE| HOMMAGE AUX VICTIMES DU TERRORISME Les vies brisées par le terrorisme ne doivent pas être oubliées. Dans le cadre de la journée nationale d’hommage aux victimes du terrorisme, une ZAYhIf. Le ministre de l'Education nationale, Jean-Michel Blanquer, a présidé la cérémonie d'hommage en mémoire des sept victimes des attaques terroristes de Mohammed Merah, perpétrées en mars 2012. Elle s'est tenue square Charles de Gaulle à Toulouse, ce vendredi 11 mars. Ils s'appelaient Imad Ibn Ziaten, Abel Chennouf, Mohamed Legouad, Jonathan Sandler, Gabriel Sandler, Arié Sandler, et Myriam Monsonégo. Dix ans jour pour jour après leur mort, la plaie est toujours vive. Entre le 11 et le 19 mars 2012, Mohammed Merah, ce jeune de 23 ans surnommé "le tueur au scooter", passe de délinquant à djihadiste en ôtant la vie à sept personnes entre Toulouse et Montauban. Trois militaires, ainsi qu'un professeur et trois enfants d'une école juive. Au square Charles de Gaulle de Toulouse, une cinquantaine de personnes - dont le ministre de l'Education nationale Jean-Michel Blanquer, la ministre déléguée aux Sports Roxana Maracineanu, et le président du CRID Midi-Pyrénées Franck Touboul - ont commémoré ce triste anniversaire ce vendredi 11 mars. "Par cette journée, notre nation honore la mémoire de nos concitoyennes et nos concitoyens qui ont perdu la vie au cours d'attentats d'une violence terrible, aveugle, inhumaine" déclare dans son discours Jean-Michel Blanquer, qui préside la cérémonie. Sont présents autour de lui des représentants de la ville, du département, de la région, des anciens combattants et des familles de victimes. Dans la ville rose, à jamais éprouvée par les affres du terrorisme, la date du 11 mars est désormais lourde de symbolique. Devenue Journée nationale d'hommage aux victimes du terrorisme en 2019, elle rappelle aussi le douloureux souvenir de l'assassinat du maréchal des logis-chef, Imad Ibn Ziaten, près du gymnase de l'Hers à Toulouse. Pour les familles des victimes et le pays entier, elle marque aussi "le début d'actes meurtriers immondes", d'après les mots du ministre, qui coûteront la vie à six autres personnes. 12 jours d'horreur et de terreur semée par le terroriste Mohammed Merah. En marge de leur visite en Haute-Garonne pour observer le déploiement du programme "30 minutes d'activités physique quotidienne" dans certaines écoles, le ministre de l'Education nationale, Jean-Michel Blanquer, et la ministre déléguée chargée des Sports, Roxana Maracineanu, ont donc pris le temps de se souvenir des victimes. Les premières d'une longue lignée. Car l'itinérance meurtrière de Mohammed Merah est un tournant, "une cicatrice indélébile" dit Jean-Michel Blanquer, qu'il est important de garder en mémoire. Les attaques de mars 2012 perpétrées à Toulouse et Montauban marquent en effet le début d'une décennie, ponctuée de vagues d'attentats de terroristes islamistes extrémistes en France. A cette commémoration, quelques élèves de 4ème du collège Emile Zola de Toulouse sont présents. Pour que la mémoire perdure, il faut la transmettre. "C'est important pour nos élèves, de remettre en mémoire ces attentats et toutes les victimes d'actes de terrorisme. Peut-être encore plus à Toulouse que dans d'autres endroits" souligne Fabien Boscher, principal de l'établissement scolaire, venu accompagner les élèves. " A l'école, on est des passeurs de mémoire, et c'est toute la République aussi qui tient à cela", déclare-t-il avec émotion. C'est un moment où nos jeunes prennent conscience d'une manière un peu plus appuyée de ce qu'il s'est réellement produit Fabien Boscher, principal du collège Emile Zola La plupart de ces jeunes étaient âgés de 3 ou 4 ans à l'époque. Désormais adolescents, leurs souvenirs prennent une autre couleur. Ayla Ok a 14 ans. Elle se rappelle surtout des événements à travers le récit de ses parents. "Ce sont surtout eux qui l'ont vécu". Elle a choisi de venir ici, pour essayer de se rappeler. Mathilde Camilleri, 13 ans, participe aux commémorations pour la deuxième année consécutive. "C'est important pour soutenir les familles et les victimes. Et ça permet aussi de se souvenir, de ne pas oublier les actes qui ont été commis", assène la collégienne. L'année prochaine, Mathilde compte bien participer à nouveau à la cérémonie. Après une quinzaine minutes, Jean-Michel Blanquer conclut son discours, et proclame "l'unité de la nation" comme le plus haut rempart contre la barbarie. "Il n'y a pas de démocratie sans belle République, et pas de belle République sans belle démocratie, et c'est de cela dont nous témoignons aujourd'hui. Face à la menace, nous ne renoncerons jamais à rien" lâche-t-il pour conclure sa prise de parole. Plusieurs gerbes ont été déposées à l'issue de la cérémonie, devant la plaque en souvenir aux victimes de Mohammed Merah. Ces fleurs se faneront avec le temps, mais le souvenir des victimes, lui, restera intact. I Deux élèves de 1ère et Mme la proviseure ont représenté le lycée lors de la cérémonie en hommage aux victimes du terrorisme Courrier de l’Ouest 14 mars 2022 Pierre ORY, Préfet du Maine et Loire, a présidé la seconde cérémonie en hommage aux victimes d’attentats terroristes, sur la place Leclerc à Angers, en présence des élus locaux, parlementaires et élèves des lycées Henri Bergson et Joachim du Bellay, vendredi 11 mars à 11h. Lien vers les quatre photographies mises en ligne par la préfecture. Deux élèves de 1ère ont lu le poème Liberté » de Paul Eluard Lien vers les travaux d’élèves 2018 sur ce poème et la tapisserie » Liberté » de Jean Lurçat. Avec leur classe, ces deux élèves ont travaillé sur l’hommage au professeur Samuel Paty en EMC et histoire-géographie le 15 octobre Lien et sur l’exposition des Archives Départementales du Maine et Loire au CDI » Vivre la République en Anjou » . Son treizième et dernier panneau présente les attentats de janvier 2015 à Paris, du 14 juillet 2016 à Nice, ainsi que la forte mobilisation des angevins Extrait panneau réalisé par ADML La cérémonie en hommage aux victimes de terrorisme est présentée sur Eduscol II Exposition au CDI en hommage aux victimes du terrorisme III Blog sur l’ Education Morale et Civique Face au nombre d’attentats perpétrés en France depuis le début des années 1970, le président de la République avait décidé, le 19 septembre 2018, d’instituer une commémoration annuelle pour les victimes du terrorisme en France et les Français frappés à l’étranger. 11 mars un triste anniversaire La première Journée nationale d’hommage a ainsi eu lieu mercredi 11 mars, sur le parvis des droits de l’Homme, au Trocadéro, lieu symbolique de Paris. Cette date fait écho à la journée européenne des victimes du terrorisme. Elle s’avère aussi être un triste anniversaire et ce, à double titre, puisque le 11 mars 2004, les attentats de Madrid faisaient 191 morts et que le 11 mars 2012, Mohamed Merah entamait son périple meurtrier. L’hommage était également relayé sur l’ensemble du territoire où, conformément au décret du 7 novembre 2019 instaurant la journée commémorative, de nombreux préfets pouvaient organiser des cérémonies d’hommage au niveau départemental. Tous unis dans la douleur La cérémonie d’hommage s’est déroulée sous la présidence d’Emmanuel Macron, accompagné de son épouse, ainsi que du roi et de la reine d’Espagne, spécialement conviés pour l’occasion. Plusieurs victimes, leurs familles, les associations, ainsi que différentes personnalités civiles et militaires étaient également présentes. Après la lecture de plusieurs textes et l’interprétation de chants symboliques, des enfants originaires des villes touchées par les attentats ont déposé des panneaux portant le nom de leurs communes au pied d’un olivier commémoratif. Durant la cérémonie, Felipe VI a remercié la France pour sa coopération politique, judiciaire et policière dans la lutte contre le terrorisme. Il a rappelé l’importance de cette solidarité européenne pour garantir la sécurité des citoyens mais aussi pour se souvenir, ensemble, de toutes les victimes des attentats. La mémoire est un acte de respect … indispensable pour combattre le terrorisme, car le souvenir de ce qui a eu lieu constitue l’un des plus puissants catalyseurs pour lutter contre ce fléau », a affirmé le roi d’Espagne. Unité, souvenir, action Le président de la République a également pris la parole, saluant d’abord le courage de tous ceux qui sont intervenus pour aider et secourir durant les attentats, louant la chaîne fraternelle et solidaire qui s’est mise en place. Ils espéraient nous diviser, ils n’ont fait que nous unir », a-t-il déclaré. Le chef de l’État a ensuite rappelé l’importance d’honorer le souvenir de l’ensemble des victimes du terrorisme sous toutes ses formes. Dans ce cadre, il a annoncé que la cérémonie d’hommage se tiendrait chaque année dans une ville différente, pour permettre à toute la Nation de veiller sur ses enfants assassinés ». Emmanuel Macron a également annoncé la création à venir d’un musée-mémorial. Ce projet, confié à l’historien Henry Rousso, permettra d’offrir un endroit de recueillement qui honorera la lumière vitale de la mémoire et de la connaissance », mais aussi d’informer et de sensibiliser les futures générations face à ces actes barbares. Enfin, le président de la République a insisté, à son tour, sur l’action de tous les pays européens dans la lutte anti-terroriste. La France n’a cessé de s’engager et de combattre et assume toute sa part … sans jamais renoncer à l’état de droit et tomber dans le piège de l’arbitraire », a-t-il précisé. Rebondissant sur la nécessité de sauvegarder la démocratie, il a conclu en s’appuyant sur la devise de la République française Nous ne renoncerons pas à la liberté …, à l’égalité …, à la fraternité, nous ne renoncerons à rien, car nos enfants, nos amis, nos concitoyens sont tombés pour cela ! » Source / Crédit photo ©

cérémonie d hommage aux victimes du terrorisme